Dès que l’on se retrouve sur les hauteurs de la ville, on les aperçoit par centaine : cette myriade de toits terrasses, ornés de nombreuses paraboles, parfois de citernes d’eau. De l’agriculture à l’habitat en passant par la gymnastique urbaine, ils accueillent des activités variées et comptent parmi les rares espaces où une forme de liberté d’expression résiste dans la capitale égyptienne. En duo photographique, nous avons documenté cette «cinquième façade» dont la diversité des usages demeure encore largement méconnue. Ce travail a été coréalisé en 2017 avec Marie Piessat et exposé en 2018, à l'Institut français d'Égypte au Caire.
http://surlestoitsducaire.wordpress.com
Dès que l’on se retrouve sur les hauteurs de la ville, on les aperçoit par centaine : cette myriade de toits terrasses, ornés de nombreuses paraboles, parfois de citernes d’eau. De l’agriculture à l’habitat en passant par la gymnastique urbaine, ils accueillent des activités variées et comptent parmi les rares espaces où une forme de liberté d’expression résiste dans la capitale égyptienne. En duo photographique, nous avons documenté cette «cinquième façade» dont la diversité des usages demeure encore largement méconnue. Ce travail a été coréalisé en 2017 avec Marie Piessat et exposé en 2018, à l'Institut français d'Égypte au Caire.
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